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Première partie - "Parenthèse
historique" :
L'aventure
des voitures Bugatti débute en France en 1909
sous l'égide d'Ettore Arco Isidoro Bugatti
d'origine Italienne et naturalisé Français peu
de temps avant sa mort en 1947. Lentreprise
est longtemps considérée comme pionnière dans
le domaine de lautomobile et produit de
luxueuses sportives reflétant ladage de
cet ingénieur de talent : "Rien nest
trop beau, rien nest trop cher". Les
Bugatti se distinguent particulièrement en
course automobile, notamment dans la première
moitié du XXe siècle, grâce à
ses légendaires bolides bleus de France. La
domination des Bugatti est telle que les pilotes
répètent à l'envie que seule une Bugatti peut
battre une Bugatti. Le palmarès de la marque est
grandiose avec plus de 10 000 victoires en
course et 37 records.
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Photo 1 : Bugatti type 32
(1923) - Photo 2 : Bugatti type 35 (1924) - Photo 3 :
Bugatti "Royale" (1931)
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En 1951,
après la disparition en 1939 de Jean Bugatti qui
depuis 1930 dirigeait progressivement
l'entreprise et qui fut à l'origine de la
superbe Bugatti Type 41 dîtes
"Royale", et d'Ettore Bugatti en 1947,
c'est Roland Bugatti le fils cadet et Pierre
Marco, ancien pilote et fidèle collaborateur de
l'usine qui tentent de poursuivre l'aventure.
Malheureusement, ils n'ont pas le génie de leurs
deux prédécesseurs.
Poutant en 1956, une nouvelle
tentative en GP voit le jour avec la Bugatti Type
251 dessinée par Gioachino Colombo. La Bugatti
T251 fabriquée en 3 exemplaires possède un
moteur de 2,5 litres à 8 cylindres pour 230
chevaux. Engagée au GP de France 1956 elle est
conduite par Maurice Trintignant qui ne réussit
à se qualifier que dix-huitième. En début de
course Trintignant parvient à se hisser à la
treizième position mais doit abandonner au
dix-huitième des soixante-et-un tours, commande
d'accélérateur grippée. Ce sera la seule
apparition en Grand-Prix de la 251. Sa prestation
est jugée trop médiocre et Pierre Marco décide
de mettre un terme à ce projet ayant coûté
plus de soixante millions de francs (1, 2 million
d'Euros actuels).
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Seconde partie - Le
montage de la miniature :
La
miniature est un kit white métal "Old
School" de la marque Circuit Séries
référencé CS2, ce qui laisse à penser que
c'est le second modèle produit par cet artisan
réducteur. Les pièces sont au nombre de 26. Le
montage ne présente pas de difficultés
particulières.
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Avant la
mise en peinture, j'assemble sur le châssis les
rétroviseurs, le support du pare-brise, la barre
du levier de vitesse et le siège conducteur. La
voiture est peinte en bleu (Réf Motip : 45050).
Puis je réalise les finitions de peinture au
pinceau en utilisant de la peinture de la gamme
Tamiya. La planche de décals étant absente dans
la boite, j'utilise des planches générique pour
décorer la miniature. Puis l'ensemble est verni
et placé sous cloche le temps du séchage.
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Après
séchage, le châssis est fixé à la coque à
l'aide de deux vis. Les roues sont peintes en
argent (Réf Motip 5520). Le saute-vent est
découpé dans du plastique transparent et collé
au vernis-colle. L'avantage du vernis-colle est
qu'il devient transparent et invisible en
séchant.
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(Mise
à jour du juillet 2015) : La grille moteur
a été modifiée avec l'ajout de deux plaques en
aluminum ainsi que la peinture en "Gun
Métal" (Réf Tamiya X10) du grillage.
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Différentes
vues du modèle fini.
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Bugatti Type 251 de chez
Circuit Séries au 1/43 (Réf : CS2)

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