ANuméro d'archive : KIT - 03 - 2014 de Juillet 2014.

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Première partie - "Parenthèse historique" :

L'aventure des voitures Bugatti débute en France en 1909 sous l'égide d'Ettore Arco Isidoro Bugatti d'origine Italienne et naturalisé Français peu de temps avant sa mort en 1947. L’entreprise est longtemps considérée comme pionnière dans le domaine de l’automobile et produit de luxueuses sportives reflétant l’adage de cet ingénieur de talent : "Rien n’est trop beau, rien n’est trop cher". Les Bugatti se distinguent particulièrement en course automobile, notamment dans la première moitié du XXe siècle, grâce à ses légendaires bolides bleus de France. La domination des Bugatti est telle que les pilotes répètent à l'envie que seule une Bugatti peut battre une Bugatti. Le palmarès de la marque est grandiose avec plus de 10 000 victoires en course et 37 records.

Photo 1 : Bugatti type 32 (1923) - Photo 2 : Bugatti type 35 (1924) - Photo 3 : Bugatti "Royale" (1931)



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En 1951, après la disparition en 1939 de Jean Bugatti qui depuis 1930 dirigeait progressivement l'entreprise et qui fut à l'origine de la superbe Bugatti Type 41 dîtes "Royale", et d'Ettore Bugatti en 1947, c'est Roland Bugatti le fils cadet et Pierre Marco, ancien pilote et fidèle collaborateur de l'usine qui tentent de poursuivre l'aventure. Malheureusement, ils n'ont pas le génie de leurs deux prédécesseurs.

Poutant en 1956, une nouvelle tentative en GP voit le jour avec la Bugatti Type 251 dessinée par Gioachino Colombo. La Bugatti T251 fabriquée en 3 exemplaires possède un moteur de 2,5 litres à 8 cylindres pour 230 chevaux. Engagée au GP de France 1956 elle est conduite par Maurice Trintignant qui ne réussit à se qualifier que dix-huitième. En début de course Trintignant parvient à se hisser à la treizième position mais doit abandonner au dix-huitième des soixante-et-un tours, commande d'accélérateur grippée. Ce sera la seule apparition en Grand-Prix de la 251. Sa prestation est jugée trop médiocre et Pierre Marco décide de mettre un terme à ce projet ayant coûté plus de soixante millions de francs (1, 2 million d'Euros actuels).



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Seconde partie - Le montage de la miniature :

La miniature est un kit white métal "Old School" de la marque Circuit Séries référencé CS2, ce qui laisse à penser que c'est le second modèle produit par cet artisan réducteur. Les pièces sont au nombre de 26. Le montage ne présente pas de difficultés particulières.



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Avant la mise en peinture, j'assemble sur le châssis les rétroviseurs, le support du pare-brise, la barre du levier de vitesse et le siège conducteur. La voiture est peinte en bleu (Réf Motip : 45050). Puis je réalise les finitions de peinture au pinceau en utilisant de la peinture de la gamme Tamiya. La planche de décals étant absente dans la boite, j'utilise des planches générique pour décorer la miniature. Puis l'ensemble est verni et placé sous cloche le temps du séchage.



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Après séchage, le châssis est fixé à la coque à l'aide de deux vis. Les roues sont peintes en argent (Réf Motip 5520). Le saute-vent est découpé dans du plastique transparent et collé au vernis-colle. L'avantage du vernis-colle est qu'il devient transparent et invisible en séchant.



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Aperçu du modèle fini.



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(Mise à jour du juillet 2015) : La grille moteur a été modifiée avec l'ajout de deux plaques en aluminum ainsi que la peinture en "Gun Métal" (Réf Tamiya X10) du grillage.



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Différentes vues du modèle fini.



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Bugatti Type 251 de chez Circuit Séries au 1/43 (Réf : CS2)



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